L’Arbre est toujours après la Mer
Ce que l’Homme chérit sur Terre
La fleur est par trop éphémère
Qui s’en retourne à la poussière
Dès que le vent est en colère
Quand l’arbre plus que centenaire
Affirme alors son caractère
Vindicatif et volontaire
Mais généreux à sa manière
Il fait de l’ombre aux grands- mères
Et des oiseaux est la volière.
Dépouillé il tend vers le ciel
Dans un désarroi sans pareil
Ses branches nues vers l’Eternel
Il entre en prière… c’est l’Hiver
Michelle
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